À la fin des travaux chez le carrossier, la coque est rapatriée chez mon père. C’est ici qu’elle va attendre sa prochaine traversée de l’Atlantique ! Il faut encore remonter les trains avant et arrière pour qu’elle puisse être déplacée sur ses roues. L’arrière est prêt, mon père s’occupe des deux demi-trains avant et pour les fêtes de fin d’année 2005, je profite d’un passage en France pour remettre la coque sur ses roues. J’utilise la célèbre technique des morceaux de manche à balai dans les cylindres de suspension pour obtenir une bonne hauteur.